L’éducation affective, relationnelle et sexuelle ne peut pas se réduire à des mesures de prophylaxie mais doit « prendre en compte de la pluralité des dimensions de l’être humain, l’éducation au discernement, la construction de l’image de soi en lien avec sa relation aux autres, la formation d’attitudes de responsabilité individuelle et collective. »*
« L’éducation affective, relationnelle et sexuelle comporte donc une dimension éthique puisque s’y trouvent engagées la dignité de son propre corps, la dignité du corps de l’autre et la dignité de toute personne humaine. »*
En la matière, les établissements scolaires catholiques de Paris continueront à privilégier une politique d’éducation ouverte sur le sens de la vie, de la liberté et de la responsabilité.
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