La mort du progrès nous laisse vides et angoissés
L’idée d’une amélioration infinie du bonheur humain grâce à la science, qui tenait lieu de religion laïque en Occident, a laissé la place à un pessimisme sombre. Il n’a jamais été plus palpable qu’en cette fin de 2018
un banquier privé, un professeur d’université, une doctorante en partance pour Harvard et le dirigeant d’une grande fondation romande devisent sombrement sur l’état du monde...
la «collapsologie». Soit le récit, censé être scientifique, de l’effondrement prochain de notre civilisation industrielle.
La collapsologie postule que cet effondrement peut survenir très vite – encore de notre vivant. Son représentant le plus en vue, Pablo Servigne, le voit se produire autour de 2030 déjà.
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