La pensée des philosophes des Lumières quant à l’individu avaient le caractère d’un vrai programme : l’individualisme.
Cette philosophie a engendré une nouvelle organisation de la société. Ce n’était plus la religion, la famille ou l’origine de quelqu’un qui décidaient de son sort, mais la personne même et les choix qu’il faisait dans sa vie. Les grandes collectivités commençaient à devenir moins importantes que l’individu. Une première critique visant cette pensée de l’individualisme ne se fit pas attendre. Au siècle suivant arrivaient les romantiques, qui considéraient la société moderne comme aliénante et répressive. L’individu s’éloignait de plus en plus de son origine naturelle et n’était plus en contact avec ses émotions. L’homme n’était guidé que par les autres et jouait le jeu de la société. Il fallait donc, selon les romantiques, un retour à la nature.
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