Une étude de l’Institut national de veille sanitaire (Invs) révèle l’existence d’un lien direct entre pollution atmosphérique et surmortalité le jour ou le lendemain de l’épisode polluant.
"C'est un excès de risque relativement faible, par rapport au tabagisme par exemple. Mais si on peut décider ou pas de fumer, ce qui ne concerne qu'une fraction de la population, les 11 millions de citadins des neuf villes étudiées sont exposés aux particules: à moins de s'arrêter de respirer, ils n'ont aucun moyen de les éviter, même enfermés chez eux fenêtres fermées"
« Cette étude confirme donc que pour les niveaux de pollution atmosphérique couramment rencontrés en milieu urbain, la qualité de l’air présente une menace pour la santé des populations » poursuit l’INVS.
La pollution augmente-t-elle la mortalité ? Selon une nouvelle étude de l’institut de veille sanitaire (InVS) la réponse est clairement oui. Les chercheurs ont mesuré les effets de la pollution aux particules sur la mortalité et leur conclusion est sans appel : plus la pollution augmente, plus le risque de décès augmente.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire