Pour le président français, il est "légitime pour la démocratie et respectueux de la laïcité de dialoguer avec les religions (...). Ce serait une folie de nous en priver, tout simplement une faute contre la culture et contre la pensée".
Nicolas Sarkozy a défini la "laïcité positive" comme offrant "à nos consciences la possibilité d’échanger, par delà les croyances et les rites, sur le sens que nous voulons donner à nos existences".
"A l’heure où ressurgissent tant de fanatismes, à l’heure où le relativisme exerce une séduction croissante, où la possibilité même de connaître et de partager une certaine part de la vérité est mise en doute, à l’heure où les égoïsmes les plus durs menacent les relations entre les nations et au sein des nations, cette option absolue pour la dignité humaine et son ancrage dans la raison doivent être tenus pour un trésor des plus précieux", a lancé Nicolas Sarkozy.
"La quête de spiritualité n'est pas un danger pour la démocratie, pas un danger pour la laïcité"
"la fonction irremplaçable de la religion pour la formation des consciences et de la contribution qu'elle peut apporter, avec d'autres instances, à la création d'un consensus éthique fondamental dans la société".
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