27 avril 2013

la journée de l'asexualité

« Je pense que l’asexualité est produite par un certain contexte socio-culturel – celui de la consommation de masse – et que les asexuels proposent un être au monde qui refuse un état de fait de notre société de consommation. Ils aspirent pourrait-on dire à une « paix du désir », à un désir qui ne soit pas compulsif et ne mène pas à la violence, ni non plus à la consommation (et à la production) à outrance. Mais cela n’en fait pas pour autant un « choix » ou une « revendication ». Se vivre asexuel, c’est constater en soi l’échec de toutes les sollicitations sexuelles de nos sociétés. »
Les abstinents désirent mais ne couchent pas. Les asexuels, eux, ne désirent pas du tout, ils ne réfrènent donc aucune pulsion.

la journée de l'asexualité




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